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Bibliothèque numérique – page 6

imageLEBFrédéric Bastiat, Baccalauréat et socialisme (janvier 2014, 80pp.)

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Diplôme national consacré corrélativement à l’apparition de l’université de Paris, le baccalauréat est en action depuis le XIIIe siècle. Décrié parfois, réformé trop souvent, il continue pourtant à symboliser l’aboutissement des études secondaires, et constitue le premier rade universitaire. Lié à une conception étatiste de l’éducation, il a fait débat depuis des siècles déjà. Les économistes mêmes en sont allés de leur critique. Celle de F. Bastiat reste la plus célèbre et la plus profonde, et donc, pour notre époque, la plus digne d’intérêt.

 


imageLEBPierre de Boisguilbert, Dissertation sur la nature des richesses (octobre 2014, 58pp.)

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« Tout le monde veut être riche, et la plupart ne travaillent nuit et jour que pour le devenir ; mais on se méprend pour l’ordinaire dans la route que l’on prend pour y réussir. L’erreur, dans la véritable acquisition de richesses qui puissent être permanentes, vient, premièrement, de ce que l’on s’abuse dans l’idée que l’on se fait de l’opulence, ainsi qu’à l’égard de celle de l’argent. »


imageLEBGustave de Molinari, De la production de la sécurité (août 2014, 54pp.)

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Gustave de Molinari, par son article sur la production de la sécurité, est le grand précurseur, voire le grand fondateur de l’anarcho-capitalisme.

Cette doctrine, préconisant le fonctionnement du marché sans État, a connu un large développement au cours du XXe siècle, tandis que parallèlement, l’intervention de l’État dans l’économie et la vie sociale allait sans cesse croissant.

Molinari fut le premier à poser cette question audacieuse : si le marché, si l’initiative individuelle est supérieure en efficacité et en moralité à l’État et à l’intervention étatique, pourquoi la production de la sécurité doit-elle rester un monopole public obligatoire ? Pourquoi, en d’autres termes, des entreprises n’auraient-elles pas le droit, sur un marché concurrentiel, d’offrir un meilleur service aux consommateurs ?

Tandis que l’État assume aujourd’hui avec le plus grand mal cette fonction pourtant régalienne, ces questions, posées en 1849, nous paraîtront forcément actuelles et dignes de réflexions.


imageLEBMurray Rothbard, État, qu’as-tu fait de notre monnaie ? (novembre 2013, 194 pp.)

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Ce petit livre de Rothbard sur la monnaie est probablement l’une des meilleures introductions à la théorie et l’histoire monétaire. S’il n’est pas exempt de critiques, il faut surtout souligner ses qualités, au nombre desquelles un style non académique limpide et accessible, une méthodologie et un plan irréprochables, et une très grande densité de connaissances en un petit nombre de pages.

 


imageLEBÉcrits économiques de Vauban (juillet 2014, 230pp.)

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Grand militaire et constructeur de fortifications, Vauban est aussi considéré par de nombreux historiens comme l’un des fondateurs de la science économique. Habile statisticien, il fut également un grand humaniste, préoccupé par l’amélioration des conditions de vie du peuple, à une époque où les guerres, les mauvaises récoltes, et la fiscalité oppressive, causaient tant de souffrances. Avec bon sens, c’est dans la réforme de l’impôt qu’il chercha la solution du mal français : il proposa un impôt proportionnel de 10% sur tous les revenus, en remplacement de toute la fiscalité de l’époque. De quoi nous faire réfléchir.


imageLEBPierre de Boisguilbert, Factum de la France (septembre 2014, 132pp.)

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Après le semi-échec de son premier livre, intitulé le Détail de la France et publié en 1695, Boisguilbert réitéra en 1707 avec le Factum de la France, où il présente à nouveau ses idées, sous une forme améliorée. Il y défend, comme dans tous ses écrits, une réforme de la fiscalité, pour la rendre plus équitable. Posant les bases du libéralisme économique, il énonce également son credo, appelé à devenir célèbre : laissez-faire.

 


imageLEBJ.-G. Courcelle-Seneuil, Protection et libre-échange (novembre 2014, 40pp.)

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En tant qu’économiste libéral de premier plan, Jean-Gustave Courcelle-Seneuil s’est intéressé à la question des échanges internationaux et a défendu les vertus du libre-échange contre des sophismes protectionnistes aussi populaires à l’époque qu’aujourd’hui. Dans ce petit livre, Courcelle-Seneuil fait dialoguer un commerçant et un député, le premier, favorable au libre-échange, le second, favorable au protectionnisme. En peu de pages, il réussit à passer en revue les principales objections qu’on présente habituellement face au libre-échange et y répond avec des arguments précis.


imageLEBVauban, Projet de Dîme royale (novembre 2014, 90pp.)

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De tous les manuscrits de Vauban réunis dans les douze volumes des Oisivetés, seul la Dîme royale fut imprimée du vivant de l’auteur, car seul ce mémoire fut jugé digne d’une publication. L’accueil qui fut fait à ce grand livre, si impropre à son époque, si contraire aux préjugés du temps, ne nous étonnera pas. L’ouvrage fut d’abord publié de manière anonyme et amené à Paris de manière illégale, car Vauban n’avait pas essayé de le faire accepter par la censure royale, connaissant ses faibles chances de succès. Paru sans autorisation, la Dîme Royale reçut d’abord un grand succès, en partie parce qu’il sera très vite interdit. C’est ce que son auteur reconnaîtra lui-même : « Le livre de la Dîme royale fait si grand bruit à Paris et à la cour qu’on en a fait défendre la lecture par un arrêt du conseil, qui n’a servi qu’à exciter la curiosité de tout le monde, si bien que si j’en avais un millier, il ne m’en resterait pas un dans quatre jours. » (Anne Blanchard, Vauban, Paris, Fayard, 2007, p.537)

 


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